Habiter, pour Françoise Lauth et Christine Baudoin, c’est laisser des traces ; des traces qui deviennent des empreintes et qui même, s’installent différemment selon les poses. Retour sur une installation dans un atelier en novembre 2019.
Il s’agit d’un travail commun débuté pendant l’été 2019 … travail né de l’envie d’échanger, de dialoguer, sur «l’HABITER ».
[L’INSTALLATION] C’est un dialogue sur l’habiter que nous proposent Christine Baudoin et Françoise Lauth avec « L’habiter en mouvement ». C’est aussi une histoire que raconte un atelier ; celle d’un lieu de vie qui construit, avec les objets qui sont là en attente ou en devenir, sa continuité, son devenir. Ici, dans « L’habiter en mouvement » de Christine Baudoin et Françoise Lauth, des souvenirs s’organisent, organisent de nouveaux lieux à habiter.
Pour Françoise Lauth : « L’atelier est un lieu où on extériorise son chez-soi, le prolongement de soi ; un espace à forte résonnance émotionnelle et sociale. Ce travail s’inscrit dans la continuité, le devenir, la transformation, le passage… Il est la trace des vestiges d’un état antérieur. »
Pour Christine Baudoin : « Ce travail, cette expérience, nous amène à faire avec l’espace, à faire l’espace, à l’investir, à l’organiser et à le faire évoluer continuellement en résonnance ou en réponse à la composition du lieu et les compositions de chacune. »
Avec les peintures de Françoise Lauth mises en scènes et prises en photo par Christine Baudoin