Fleurs est une discussion avec les jardiniers et amis des jardins qui nous permet de rencontrer la poésie jardinière, qui nous fait entrer dans le monde des jardiniers. Ce livre ne peut nous laisser indifférent.
Ce que dit l’éditeur de « Fleurs »
Emily Dickinson, Gilles Clément, Annamaria Tosini : ils ont peu en commun, si ce n’est, nous explique Martella, d’avoir tous rencontré la “poésie des fleurs” et la “splendeur de la nature”. C’est cette poésie que nous raconte « Fleurs », quand les jardins deviennent tout à la fois miroir de leur concepteur, consolation ; et ajoute Marco Martella lors d’une émission sur France Culture : Ils ont en commun d’avoir exploré le jardin, et plus que le jardin, le végétal. C’est un lien très étrange, assez puissant, au-delà de l’idée convenue que la beauté des fleurs nous fait du bien. Ils ont un rapport plus complexe et créatif avec les choses et avec le vivant.
Ce qu’en dit aussi la journaliste et romancière Stéphanie Mesnier-Angeli
Elle le souligne, ce livre nous fera tomber amoureux des jardins. Elle l’écrit au tout début de son article : Voici un livre-bijou qui a enchanté mon été, l’un de ces livres qu’on aimerait sans fin, comme une longue promenade. Dans « Fleurs », Marco Martella, qui dirige la revue « Jardins », rapporte des rencontres et des conversations qu’il a eues avec d’autres amoureux des jardins. Jardiniers professionnels, mais aussi artistes, poètes et écrivains, adeptes de « la poésie des fleurs », qui aiment comme lui les jardins, même ceux qui n’existent pas. Un florilège d’histoires, dont chacune porte le nom d’une fleur, une parenthèse parfumée où s’épanouit la beauté.